phoenix, arizonathème city-gang sombre, flicaille, bikers. époque actuelle // réservé à un public mature et averti -18
wall of glory
hides the face, lies the snake;
     terre suinte vermillonne, tapagée par les heurts de mille feux; poussière précieuse, que convoitent ainsi les bannières dissidentes. car meutes jacassent ainsi, comme chasse à courre. couchés sur montures rutilantes, reîtres arborent le cuir cousu au battant. ils gerbent l'ivre violence en marasme chantant comme saints paillards.
et sur plèbe ployée, manigances ouvrent jugulaires en traînées caillées.
car v'là que rouges cabales déparent l'humanité en mascarade affligeante; dans l'antre de l'oiseau aux ailes-flammes, cabots font montre de sales babines devant cavalerie, ces nobles barbares polissant l'écusson. mais ô belle ironie, à jeter ainsi soldats cannibales dans l'antre déjà ravagé!
wanted dead or alive

zeke daggers
vixen; admin

gazettedesign v.2 par LUX // ouverture officielle; 30.07.24 // pré-ouverture; 28.07.24 // design v.1 par LUX // création; 23.07.24
— the sun in my disgrace, boiling heat summer stench; neath the black, the sky looks dead —

Viggo Grayson
Viggo Grayson
BEAUTIFUL MONSTER
faceclaim, © : suter by lux.
saisons : jeunesse s'érode et se multiplie, s'avorte et se remémore ; éclipse appelle vieillesse mais refoule les instincts génésiaques, vomissant être solaire aux rayons héliaques ; ((trente-cinq ans))
myocarde : miché des lunes pourpres s’enorgueillie de ses carnages sans soleil, de ses oraisons amoureuses aux fins vermeilles. Libre sans d’autre horizon que l’écume délicieuse perlant aux margoulettes furibondes.
besogne : itinérant funambule, chef et protecteur des veines empoisonnées, aigrefin séducteur de l'immortelle beauté. la manipulation féroce agite et stimule les conceptions criminelles, celles qui subtilisent silencieusement le nectar de la richesse oubliée ; cambrioleur professionnel aux allures de sardanapale
# Dim 1 Sep 2024 - 21:38

because you're mine
a spell on you

folie latente s’accouple aux douleurs éreintantes, fomentant le châtiment inadmissible du dément. brume épaisse s’irise de visions diablesses ; de cauchemars vicieux dans l’art d’habiller les fantômes de chairs humaines. carcasse déglingué hurle interne-externe, du sang pollué par les coups obligés, des pensées éclatées comme balles égarées. au fil de l’horizon, horreur de plomb puisqu’au creux du vaste mystère, l’enfant vit sans son père. alors beau miséreux s’est étreint d’investigation aliénée, de paranoïaque fouille pour personnifier les révélations sardoniques. chien sans rien a humé le corps-vérité comme fauve fou-à-lier puisque de ce cruor partagé, il ne peut se passer.


et dans l’agitation furieuse
apparait l’identité pieuse
minois maternel à la blondeur irréelle


azmar ashbury
ô trésor maudit


hémoglobine brûlée s’est lentement marbrée devant les clichés volés, riant du forban piégé. silence mué en éclats voit le tonnerre ridicule face au naissant trépas. grognements prophétiques en pulsions erratiques peinent à maîtriser les instincts ravagés ; quand enfin, la quête ultime est dévoilée.


--



joli costard épouse musculature abattoir, encore souffrante de la rixe allumoir. seules les marques violacées trahissent le secret dévoilé et le rythme saccadé du chêne sur le pavé. guerrier brisé repère proie prédatrice dans l’antre de nouveaux vices, singeant la familiarité d’un homme qui n’a jamais cesser d’aimer. un geste rassurant au laquais invite beau carnassier à la table de ses méfaits, glissant sur la nuque de l’impératrice la manne autrefois protectrice. « hi beautiful and venimous mother of my child »  murmure tendrement à l’oreille offerte tandis que les lèvres esquissent le baiser de l'antique conquête. sans attendre requête, éclatant infâme s’assoit face à la mygale, adressant de ses belles dents un sourire éclatant. « you’re surprised, i know. he’s taller, richer but god, a dentist ? come on, that’s so disappointing » grimace vaurienne brille d’un nouvel éclat ; celui des âmes qui n’ont plus rien à perdre.  « but i guess i never knew your kind of man, after all » air de confidence friponne s’accompagne d’un appel au maître des tentations. manne chaude s’empare des griffes offertes pour y poser son sceau. pourtant, sur les lèvres gelées, c’est le stratagème tout de ruse emmitouflé. « right now, you’re being held in a crosshair so i wouldn’t try to run if i were you. you know how i like to play the lovers in mourning; i will be convincing and you dead, because of your usefulness » tirade s’achève par baiser falsifié et phonèmes enjoués. « so now, diner » et au serveur apprêté : « please, some red vine for my wife ; i like how it makes her chatty » disparition de l’intrus au profit des fausses vertus ; nostalgie et sarcasme en crue. « it changes from our favorite meals, right? the fruit of our flights and the freshness of our love » rire mesquin meurt avant même d’avoir égayé l’espace – son dégénéré, souvenir sans pareil de celui qui poignait dans le cœur brisé. « guess it’s not worth a good stew after all » commentaire machinal de l’époux fantasmé furetant le menu de leurs rancœurs ; mais enfin, enfin, sincérité nait sur l’ordre déguisé en requête badine :  « so come on princess, i’m fucking starving of your secrets : tell me all about my son »


@inbar hazan
[crédit; ...]
Viggo Grayson
Page 1 sur 1

Sauter vers: