phoenix, arizonathème city-gang sombre, flicaille, bikers. époque actuelle // réservé à un public mature et averti -18
wall of glory
hides the face, lies the snake;
     terre suinte vermillonne, tapagée par les heurts de mille feux; poussière précieuse, que convoitent ainsi les bannières dissidentes. car meutes jacassent ainsi, comme chasse à courre. couchés sur montures rutilantes, reîtres arborent le cuir cousu au battant. ils gerbent l'ivre violence en marasme chantant comme saints paillards.
et sur plèbe ployée, manigances ouvrent jugulaires en traînées caillées.
car v'là que rouges cabales déparent l'humanité en mascarade affligeante; dans l'antre de l'oiseau aux ailes-flammes, cabots font montre de sales babines devant cavalerie, ces nobles barbares polissant l'écusson. mais ô belle ironie, à jeter ainsi soldats cannibales dans l'antre déjà ravagé!
wanted dead or alive

zeke daggers
vixen; admin

gazettedesign v.2 par LUX // ouverture officielle; 30.07.24 // pré-ouverture; 28.07.24 // design v.1 par LUX // création; 23.07.24
— the sun in my disgrace, boiling heat summer stench; neath the black, the sky looks dead —
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1299 €

Paz Rossi
Paz Rossi
SOL OSCURO
faceclaim, © : p.cruz, ostara
saisons : existence triplée aux tripes faisandées fusine la fresque des affronts vénérés.
myocarde : en ordalie les chaînes viriles ; en malédiction, les peines imbéciles ; en sentence, la mort et ses crimes.
besogne : chienne des rues, déesse du macadam ; elle en respire l'éther, les veines et l'âme. paraphrénique hérétique se maquille de poussière, rit de sa misère. ses canines gâtées luisent au soleil de plomb qui fond, brûle, noircit sa charogne, la sacrant de l'ombre, la madone.
# Sam 17 Aoû 2024 - 23:58

deal

you’re out, rossi. i didn’t know you had friends so high up. i didn’t know you had friends all in all... think about thanking him, girl. what did you sell to get away with that? your soul ? your ass ? same thing i guess. oh poor guy, i hope he will get his money’s worth !! the man just made you years of life. well, it’s not like we’re gonna miss you, huh ? come on, get your crazy face out of here and … enjoy your freedom, bitch.

écume
malheureuse
dégueule du carde et rend la
hyène

hideuse ;

de rage, esclave crachant l’orage
maudissant l’enfer de ses chaînes
cliquetant encore dans la cage
de ses nouvelles géhennes.

et elles apparaissent, toutes teintées de mort et de sable, empestant le clan abominable. pauvre hère se meut reine de tout depuis qu’elle n’est plus spectre de rien, laissant éclater ses maux en instincts bestiaux. les regards se croisent devant fulgurante qui écrase sous ses griffes de mégère regards noirs et blanches colères. minois froncé devant canon dressé ignore finalement la menace voilée ; car chienne ne sait pas gronder devant danger.


« calm down, tesoro : i need to see the boss » scepticisme joue avec l’acier, s’en fait des perles en collier. « he’s waiting for me » pupilles chardons affrontent  mâle en puissance mais renifle en secondes l’inflexibilité imbécile. « ok fuck this shit » déclenche folle ardeur lorsque corps évite mastodonte et se faufile vers la cachette du maître. porte s’éventre et enfante furieuse sorcière, salie encore de la vie sans jour, des nuits sans lumière. sous foudre oculaire, visage du geôlier bienfaiteur s’esquisse et arrache grimace amère :

« we had a deal, aguilar ! » articule en hurlant mauvais ouragan.  emprise traîtrise arrache les plumes nouvellement récupérées, aspirant le sang dans le calice souillé des meutes indomptés.  « why my cousin is one your dog ? one wasn’t enough ? » années écoulées dessinent et effacent le visage adulé, rompu aux chaînes du besoin, éclaté dans les guerres du malin. à deux faces, ce dernier se dessine ; la gueule du loup surmonté des cornes carmines. « i want her out » regard s’ancre dans regard lorsque demande sirupeuse atteint point d’ancrage, ignorant la hiérarchie des marauds damnés, ignorant la bêtise d’être biche dans tanière de félidés. « i want her out right NOW » gronde enfin le désespoir manichéen car pour rien elle ne veut ses veines dans la boue de ces chiens ; car pour tout, elle brûlerait cette tanière d’airain.

@salvador aguilar
[crédit; ...]
Paz Rossi
https://blackholesun.forumactif.com/t64-paz-rossi-el-fuego-que-arde-tu-piel
Salvador Aguilar
Salvador Aguilar
GUAPO MALVADO
faceclaim, © : tony dalton (c) queen ostara (av), queen vixen (code sign), exdeputysonso (gif)
saisons : il n’est point passé le temps des ambitions démesurées, se pavane en despote goguenard depuis quarante-cinq ères trépassées.
myocarde : cafard immortel des ses émois en éventail, vent tempétueux et sec qui s'est ravivé en chaleur insoupçonné et dévoué ;; marié
besogne : représentant des démons cramoisis, crocs limés des gueules diablotines sur leur bécane argentée ;; alpha des red devils
district : ô plaines arides et délaissées faisant rayonner le phénix de ces contrées malfamées, il savoure son chaos comme la douceur d'un miel fleuri ;; south district
# Lun 19 Aoû 2024 - 0:26

don't hesitate,
bare your teeth,
go for the throat.
d e a l
Entrevue sous les auspices du brouillard criminel de l’aride cité à l’aura endiablée. Diatribes et palabres coffrés entre les parpaings de son bureau stylisé par ses prédécesseurs hantant l’atmosphère de leur doigté enragé. Président et futur couronné s’associe en face-à-face passionné pour l’avenir du club face à leur antagoniste chiens galeux enragés non loin de leur contrée. Manigances entremêlées de félonie délibérée retrouvée brutalement interrompue par tornade brunâtre fracassant sa porte dans un choc imprévu. “we had a deal, aguilar !” L'interpellé consterné face à la dégénérée tandis que vice-président à l’autre bout de la salle dans le dos de la furie se fait coi face à la perplexité du diable rouge absorbé. Une tonalité déjà entendue de l’autre côté du combiné. “why my cousin is one of your dog ? [...]” Pièces commencent doucement à s’assembler. Visage aux traits perplexe métamorphosés doucement en comédien narquois d'obscure malice. Pseudo-héros rencontrés souvent sous les hystéries désirant ardemment sauver leur cher et tendre de sa soi-disant emprise. Dévie son attention à son acolyte quémandant une reprise de leur entretien disloqué. « It’s ok. Leave us. » Puis repose ses pupilles sur la cousine médusée, absorbant l’âme d’autrui par son néant hypnotisant de barbarie.

« Miss Rossi, right ? What an e x q u i s i t e pleasure to meet you in the flesh. You are a delight for the eyes ! » Bras écartés en accueil bienséant malgré son animosité telle l'araignée malingre déployant sa toile pour capturer sa proie. Brutalement, claque paumes d’un aigu aigre aux tympans secoués. « But I must confess, I’m a little disappointed. » Pas feutrés s’avancent telle une danse indolente vers la femme à la voix d’acier. « You came to my place, furious like a a rabid dog, after everything you and I have been through ? So after all, you're among those who takes everything for granted... » Continue sa marche traînarde, sourire vaurien du vautour désarticulé lorgnant sur la carcasse à l’élégance putréfiée. « I’m talking mostly about this thing called gratitude ? Ever heard of it ? I mean, I’m not asking for flowers, but at least a 'thank you' ? No ? Not even one tiny 'thank you' ? » S’arrête alors en face de la cible humaine, tête baissée manifestant son impérieuse domination amusée. La voix se fait d'une solennelle gravité, sommation perturbante par son sourire carnassier alors que la menace se fait chuchotement inconvenant. « Because unlike your cousin, this place is not yours. So I suggest to lay your fucking voice down before I throw you myself on the street like the dirty scam you are. » Pupilles verrouillées telle une arme qui a été dédaigné, pointées en plein centre de ses iris, trou noir d’un abysse impossible à échapper.

Détache graduellement son emprise, lente rotation pour lui offrir son dos en contemplation. Commence nouveau pamphlet en se dirigeant vers son trône en cuir terni. « The only deal we had was to get you out of jail after I got the information I wanted. You in this very place, is the proof that the deal is done. So let my ask you one simple question : why the fuck are you here ? » Question éructée en déposant sa croupe contre le dossier du siège renfrogné. Faussement interloqué, bouge sa nuque vivace, virevoltant de droite à gauche dans une comédie burlesque. « Ah that's right... your cousin. » Déboire tiré en amertume courroucée. Sort une clope de sa veste en cuir forgé, le briquet agrippé dont il libère la flamme ondoyante illuminer son regard débridé. « You want her out ? Darling, you’re not in prison anymore. She's never been locked up. She came to us on her own free will, whether you like it or not. » Expulse nuage blanchâtre de toxicité enfumée, pointant la cousine au sang bouillonnant d’impétuosité. « By the way, tell her that if she doesn't show her skinny ass by tomorrow, I'm gonna pick her the same way you came into my place ; with all.my.gratitude. » Chantage hasardeux en ces temps périlleux. Aussi proche d’une vérité ignorée et pourtant si loin de la réalité.
@Paz Rossi
[crédit; code fiche (c) vixen, icon (c) alcara]
Salvador Aguilar
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myocarde : en ordalie les chaînes viriles ; en malédiction, les peines imbéciles ; en sentence, la mort et ses crimes.
besogne : chienne des rues, déesse du macadam ; elle en respire l'éther, les veines et l'âme. paraphrénique hérétique se maquille de poussière, rit de sa misère. ses canines gâtées luisent au soleil de plomb qui fond, brûle, noircit sa charogne, la sacrant de l'ombre, la madone.
# Lun 19 Aoû 2024 - 15:28

deal


hérésie suicidaire percute clown de fer, brûlant trachée sous traits d’ironie maculée. lorsque brouillard se dissipe, maître s’irise de ses dards et maquille fausse madone de ses fards. chienne perdue au milieu de la meute réalise que l’alpha n’à qu’à grogner pour fonder son trépas ; reniflant danger comme cruor dracula. « i’m talking mostly (…)no ? not even one tiny 'thank you' ? » « i don’t have to thank you, papi » crache en sonorités rocailleuses l’ironie contagieuse. impertinence pathologique se heurte à roi cyclonique mais que faire, que faire ? lorsque le crâne ne contient que de l’air.  « you didn’t make me a favor. you asked, i worked, you payed – this, is, it » énumère en évidence le rapport d’incidence, pointant sur ses doigts les trois chapitres de leur noire romance.  « i said : when we’re done here, i don’t want to hear from you ever again. translation: not employ gabriela in your business. »  accents résonnent encore alors que l’injure finale provoque grimace glaciale. « so i suggest to lay your fucking voice down before i throw you myself on the street like the dirty scam you are » réplique ardente comme gun débridé, attaque insondable danger :  « the dirty scam was very convenient to your little business, you motherfucker » tension déflagre avant qu’elle ne puisse la retenir, tempête idiote et sans avenir. canines se crispent sur lèvres scellées tandis qu'onyx observent l’ignoble approcher, appréciant d’un air sauvage la démonstration de virile supériorité. alors, démente se fait clémente et lisse d’un revers de la main les épaulettes du grand maître, qui règne sur sa nouvelle quête.  « ok, too far : i take it back. for the old days ? the goood and conforting calls. you, putting little sunshine in my cage, right ? » vérité à peine voilée puisque mission furetage avait donné un objectif à l’ignoble bagne. « ah that's right... your cousin. »  griffes se font velours et masque de rage joli minois sans émoi. d’un léger coup sec, indocile menteuse dresse le col de l’illustre, reprenant lentement son plaidoyer : « listen, she’s young and stupid, always looking for danger. the girl is mad : a ball of water dragged to your feed who that will make you drown » « by the way, tell her that if she doesn't show her skinny ass by tomorrow (…) »  « what ? » mais aux révélations putrides, mensonge se craquelle comme grenade vermeille et explose le timbre pourtant radoucie. « where the fuck is she ? » manne se saisit du cellulaire, neurones des rencontres dernières. flou harmonique refuse de donner des réponses pratiques, laissant à la langue le goût du vide : « that what i’m talking about : you can’t trust her » images litaniques s’harmonisent en pensées psalmodiques jusqu’à ce que douceur, pour toujours, s’effrite : « puta madre ! »  

@salvador aguilar
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saisons : il n’est point passé le temps des ambitions démesurées, se pavane en despote goguenard depuis quarante-cinq ères trépassées.
myocarde : cafard immortel des ses émois en éventail, vent tempétueux et sec qui s'est ravivé en chaleur insoupçonné et dévoué ;; marié
besogne : représentant des démons cramoisis, crocs limés des gueules diablotines sur leur bécane argentée ;; alpha des red devils
district : ô plaines arides et délaissées faisant rayonner le phénix de ces contrées malfamées, il savoure son chaos comme la douceur d'un miel fleuri ;; south district
# Mer 21 Aoû 2024 - 11:53

don't hesitate,
bare your teeth,
go for the throat.
d e a l
Sobriquet goguenard provoquant flegme importun. Confirme son ingratitude en quelques mots recueillis par haussement de sourcil hagard. “i don’t have to thank you, papi” Bras ballants, lassés, poupée inconsidérée, intérêt stérile contre un temps harassé. « Like I said : ungrateful. Watch out princesa, barking with your pretty face will deepen your wrinkles. » Menaçant par l'opprobre dissimulé en conseil recommandé. Puis acquiesce à sa trinité terre à terre et incontestable d’un monde en proie à un labeur tannant. Mais rengaine irritante ; démon modèle ses traits dans une dureté émergente face à son refrain tonitruant, tympans résonnant par son désagréable ton rageant. « Gabriela, Gabriela… You talk too much about what she cannot do, forgetting she has a will of her own. » Lionne rugit son ignominie face au diable qui s’en enorgueillit. Rire frontal d’encouragement mutin aux insultes sorties des tripes tapines. « This motherfucker will teach you something ; you were in your shit hole of a cage, I saw in this an opportunity for you and me. You took that opportunity. We call that : being useful to society. And then : I thanked you. And that’s what being grateful is about, pendeja. » Fougueuse réprimande éructée dans un paradoxe singulier ; l’énergie d’un démon enflammé et le calme tempéré d’un juge au maillet d’acier.  

Attitude soudainement altérée. Janus médusée, sirène charmeuse papillonnant son envoûtement. Réalisation de son comportement délurée, sort alors une défense encaissée par le meneur des diablotins comme un divertissement dévergondé. « Dios mío… Are you always this moody ? I prefer consistency in women. » Grâce de son toucher consciemment reçu en apathique frigidité tout en écoutant l’apologie de la personnalité de sa cousine novice. Intègre fatalité du sentimentalisme familial aux barrières incommensurables pour les âmes fougueuses d’un au-delà radieux. Main libre de sa clope entamée, attire silhouette langoureuse vers lui en défi néfaste pour l’intérêt de l’apprentie démone rutilante. Raffole des parties d'échecs corporels. Armes d'assaut face aux esprits démunis de lucidité. Regard tisonnier, abreuve le foyer de provocation pernicieuse, la paume appuyant courbure de ses reins à la merci de ses griffes vauriennes. « See, that’s the thing about family. In your eyes, she will always be your intrepid, crazy and thoughtless cousin. And she'll always feel that way when she’s with you ; whereas with me, she’ll be the one she wants to be. » Fomentation accentuée avec recoin de sourire piquée par des faits avérés dans une douceur déplaisante de véracité.

Lâche son emprise pour enchaîner sur l'absence remarquée qui interpella la méduse soudainement moins charmée. Étonnement évident observé dans un calme crispant. “where the fuck is she ?” « I asked you first. » lui faisant cligner les yeux de perplexité face à l’alarme impromptue provoquée évoluant en tourment palpant. « Good luck with the phone. » Quitte le siège pour entamer marche transcendée vers son bureau boisé. “you can’t trust her” suivi du tourment enrageant. « Quick question. » Ignore injure enflammée, instinct réveillé, secondes sentis comme déterminant selon les réponses apportées. « Where did she go in her spare time ? You’ve been locked up for five years but you must know something, tell me. » Comportement inhabituel émergeant scénarios dans un ordre croissant d'improbabilité. Clope devenue encens embaumant l'atmosphère d'une apparente prémisse à l'affolement de la famille face au sang-froid du tenancier des enfers graisseux de gasoil fétide. « And why did you say she couldn't be trusted ? In relation to what ? To whom ? » S'approche lentement tandis que rumeurs débauchées refont surface dans les méandres de son cerveau aux rouages activés. Se tient comme son ombre engloutissant malingre galbe échauffé. Force le regard par son menton soulevé pour y verrouiller ses pupilles dans les siennes vides de toute amabilité.
@Paz Rossi
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Salvador Aguilar
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myocarde : en ordalie les chaînes viriles ; en malédiction, les peines imbéciles ; en sentence, la mort et ses crimes.
besogne : chienne des rues, déesse du macadam ; elle en respire l'éther, les veines et l'âme. paraphrénique hérétique se maquille de poussière, rit de sa misère. ses canines gâtées luisent au soleil de plomb qui fond, brûle, noircit sa charogne, la sacrant de l'ombre, la madone.
# Jeu 29 Aoû 2024 - 20:30

deal


injures succèdent aux fausses tendresses  car parjures aiment à mesurer le poids de leurs ivresses. dans caboches cassées, le même son de verre brisé ; celui des éternels banquets de bacchus et séléné. « watch this beautiful ego ; killing people made you so strong, isn’t it ? » interroge lentement folle-à-lier alors que pupilles se mêlent à pupilles dans une lente danse irascible ; celle du maître et de l’intrépide, pauvre gueuse et roi perfide.  aux belles inconstances, langue parade et danse, échauffant l’air de quelques flammes adultères. « dios mío… are you always this moody ? i prefer consistency in women. »  réponse tac-au-tac au sourire mutin claque comme une balle sur le ciel d’étain. « liar » angélique émousse les lames qui naissent de sa langue et dessinent sur le derme le sceau des invraisemblances. « you like them spicy, bandido, otherwise your old banker’s ass would look ten years older and my wrinkles wouldn’t be the problem »

mais revolver s’éraille lorsque démon se prête au jeu, échauffant cellules des soirées rouges ; danger, impudeur, inconscience de la proie caressant les canines de son chasseur. pourtant, sous manne criminelle, gaupe spirituelle ne se soumet ; et le duel oculaire enfonce métalangage en nouveau gage. glace contre brasier fait fondre les barreaux d’acier et percute pour secondes suicidaires assurance de pauvre mégère.

lascivité disparaît au profit d’angoisse carabinée puisque beau spectre luit de ses errances. sous accusations rances, mauvaise âme se renfrogne et se cache sous déni-charogne ; car il est plus doux d’accuser l’autre de ses misères plutôt que d’admettre l’horreur de sa faiblesse. « with you, she will be the girl who dissapear with a thousand ennemies in town ; i prefer the intrepid pain in the ass she would be with me because she would be safe » mensonge luit de beauté dans le cœur fané de pieuse luciférienne. « and let’s be honest , when we follow you, we are a dog or dead »  croyance résonne de vraisemblance puisque sous les airs de clown aux milles démences se dissimule l’acteur de leur trépas. les crocs sont acérés et percent sans pitié des bouts de carde pourtant oubliés.  « you’ve been locked up for five years but you must know something, tell me. »  mémoire défaillante vacille sous années d’asile et les seules réponses vaillantes paraissent pathétiques à la lueur noire des astres.  « … i don’t know, you’re the boss, no ? you’re in charge of her little outlaws things » ô, mauvaise foi, tu maquilles si bien ses émois.

domination usurpation arrache mauvaise langue et intime silence. sous interrogation acide, menace trépigne et intime le vide à la sœur lupine. « … to nobody. » usurpe vérité mensonge qui se voulait argument de fange. face-à-face intense voit brûler fournaise car dans ses yeux, elle lit le culte de sa fin.
et dieu, quel homme de faim.


lueur horreur s'enfante du duel aux mille peurs, éclairant gueule piteuse de violence bienheureuse. « tell me your price » détache lentement les syllabes en folie finale. « tell me your price and i will pay it » assure sans sourciller démone aux rêves brisés. « tell me what do you want and then, forget about us. » mais volontés contraires ne peut satisfaire le cannibale au cœur de pierre.



@salvador aguilar
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Paz Rossi
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