phoenix, arizonathème city-gang sombre, flicaille, bikers. époque actuelle // réservé à un public mature et averti -18
wall of glory
hides the face, lies the snake;
     terre suinte vermillonne, tapagée par les heurts de mille feux; poussière précieuse, que convoitent ainsi les bannières dissidentes. car meutes jacassent ainsi, comme chasse à courre. couchés sur montures rutilantes, reîtres arborent le cuir cousu au battant. ils gerbent l'ivre violence en marasme chantant comme saints paillards.
et sur plèbe ployée, manigances ouvrent jugulaires en traînées caillées.
car v'là que rouges cabales déparent l'humanité en mascarade affligeante; dans l'antre de l'oiseau aux ailes-flammes, cabots font montre de sales babines devant cavalerie, ces nobles barbares polissant l'écusson. mais ô belle ironie, à jeter ainsi soldats cannibales dans l'antre déjà ravagé!
wanted dead or alive

zeke daggers
vixen; admin

gazettedesign v.2 par LUX // ouverture officielle; 30.07.24 // pré-ouverture; 28.07.24 // design v.1 par LUX // création; 23.07.24
— the sun in my disgrace, boiling heat summer stench; neath the black, the sky looks dead —
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Jackie Malone
Jackie Malone
siren of midnight
faceclaim, © : Dove Cameron (romy + :dovenation)
soirée improvisée (satine) A2e66219584735f7e04124baefa1b7821a737d4c
saisons : Elle porte en elle le mystère de 27 printemps, où chaque année a déposé un souffle de vie sur son cœur.
myocarde : Son cœur voyage librement entre deux horizons, attiré par la beauté des âmes, qu’elles soient féminines ou masculines. En solitaire, elle explore ces rivages, écoutant le chant de son désir sans se laisser enfermer par les conventions.
besogne : Près de toucher son rêve, une blessure est venue se dresser entre elle et son destin. Depuis son retour dans sa ville natale, elle sert les nuits au Coyote Ugly, portant en elle la lueur des rêves inachevés.
district : North distrixt
# Lun 12 Aoû 2024 - 1:58

soirée improvisée


jackie's outfit

La nuit s’étire comme un voile mystérieux, et le Coyote Ugly se prépare à vibrer sous l’impulsion d’une énergie enfiévrée. J’entre dans le club, les cheveux encore mouillés après une douche rapide, scintillant comme des fils d’argent sous les néons vibrants. L’air nocturne, doux et légèrement brumeux, m’enveloppe d’un répit bienvenu face à la chaleur palpitante du bar. Même avec cette fraîcheur persistante dans mes cheveux, ma tenue semble prête à captiver tous les regards.

À travers les vestiaires, un sanctuaire chaotique où vêtements et produits de beauté se mêlent dans un désordre harmonieux, je fais ma route. Ce soir, je porte un top blanc éclatant et un short en jeans noir, complétés par des bottes de cowboy hautes. Le top, lumineux comme la lune dans une nuit noire, contraste avec le short décontracté, et les bottes résonnent sur le sol de béton comme des échos d’une audace nocturne. Chaque pas devient une déclaration de style, résonnant dans l’atmosphère vibrante.

Lorsque je pénètre dans la salle principale du bar, l'effervescence du Coyote Ugly m’accueille comme une vague de chaleur et de lumière. La musique rock et country flotte dans l’air, entre les rires et les chants qui se mêlent aux éclats lumineux. Derrière le bar, mes collègues se meuvent dans une danse effervescente, leurs gestes devenant une chorégraphie de convivialité. Chaque interaction est un ballet fluide, chaque sourire une étoile scintillante dans ce tourbillon enivrant.

Après deux heures d’une danse incessante parmi les bouteilles et les verres, une soif de calme se fait sentir. Je me glisse vers l’arrière du bar, vers un petit espace extérieur où l’air frais et brumeux de la nuit m’offre un havre de paix temporaire.

J’allume une cigarette, les volutes de fumée s’élevant dans l’air nocturne comme des pensées éphémères. Mon téléphone révèle un message de Satine, qui est encore chez elle. En échangeant quelques mots avec elle, je m’imprègne de ce moment de tranquillité. Je termine ma cigarette avec une lenteur méditative, laissant le mégot se consumer paisiblement dans le cendrier.

Avant de retourner à l’intérieur, je passe devant le doorman, lui murmure le prénom de Satine, lui demandant de la laisser entrer sans faire la queue. En rejoignant à nouveau le bar, l’atmosphère vibrante du Coyote Ugly m’enveloppe de ses lumières et de son énergie. Mais l’idée de retrouver Satine et de partager ce précieux moment d’amitié se révèle être un baume réconfortant au milieu de cette tourmente nocturne.
Jackie Malone
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