phoenix, arizonathème city-gang sombre, flicaille, bikers. époque actuelle // réservé à un public mature et averti -18
wall of glory
hides the face, lies the snake;
     terre suinte vermillonne, tapagée par les heurts de mille feux; poussière précieuse, que convoitent ainsi les bannières dissidentes. car meutes jacassent ainsi, comme chasse à courre. couchés sur montures rutilantes, reîtres arborent le cuir cousu au battant. ils gerbent l'ivre violence en marasme chantant comme saints paillards.
et sur plèbe ployée, manigances ouvrent jugulaires en traînées caillées.
car v'là que rouges cabales déparent l'humanité en mascarade affligeante; dans l'antre de l'oiseau aux ailes-flammes, cabots font montre de sales babines devant cavalerie, ces nobles barbares polissant l'écusson. mais ô belle ironie, à jeter ainsi soldats cannibales dans l'antre déjà ravagé!
wanted dead or alive

zeke daggers
vixen; admin

gazettedesign v.2 par LUX // ouverture officielle; 30.07.24 // pré-ouverture; 28.07.24 // design v.1 par LUX // création; 23.07.24
— the sun in my disgrace, boiling heat summer stench; neath the black, the sky looks dead —
-10%
Le deal à ne pas rater :
-30€ sur la nouvelle Tablette tactile Lenovo Tab Plus – 11.5” ...
269.99 € 299.99 €
Voir le deal

Inbar Hazan
Inbar Hazan
B  L  O  O  D     M  O  O  N
faceclaim, © : a. jolie (young) self
WATCH THE RISE AND FALL


saisons : trinité damnée; troque toujours carcan pour un autre.
myocarde : ogre battant dévore graviers depuis caveau, à l'abri des étoiles.
besogne : monstre bicéphale fait camarilla sanguinaire; guérilla carnassière.
district : grabat de plumes dans tanière néonisée.
# Ven 9 Aoû 2024 - 21:24

HAUNTED @song
It's what you do, It's what you see
I know if I'm haunting you, you must be haunting me
______tacot enroulé dans un manteau de feuillages roupille; tapis dans un coin insipide du canevas de rouilles. dans épave mécanique, lupine ronge reinette avec insatisfaction carnivore; grogne sur cadran aux aiguilles trop lentes. mais enfin, l’apparition léonine — crin fauve éveille véronèses en chasse, bientôt prolongées par longue binocle. tend alors l’échine, le crève d’oeillades assassines et recrache embryons noirs de rognon jeté aux pattes. animale traque alors sa proie à pas feutrés. col roulé sur port qui s’étend pour flirter avec les environs d’une lorgnade attentive, louve ébène rase bientôt murs de poussières.

______capturée entre filets de fer, carnassière ne se sait pas prise misère; traine pattes velours aux serres tentées, s’engouffre dans tanière obscure — arcades se froncent alors sur perles en traque. azmar, azmar… where are you and what are you doing here. méfiance pique museau qui flaire mauvais, mais soudain créature fauvesque surgit d’une ombre et fait bondir candide canidé. crocs de plombs au devant, mâchoires menace de morsure gelée arrière du crâne. gosier barillet nargue d’un cliquetis tandis que canon cogne contre crinière. « hands up, thief. » dédain dégueule de gueule aux abois, babines de biles et hazel qui brillent; elle est rupture du temps, se refait la scène de sa crade reculade. « rings a bell? cause for me, it does. » (dé)goût amer claque linguale aux épines légion. chienne sent laisse se resserrer sur gorge déployée; comme avant, comme avant. comme avant. « and do you wanna know what else? » bave rage entre phonèmes coincées derrières canines serrées; poing constricteur de crosse métallique. « the urge to run, followed by two bullets in the back. » craché ritournelle, là contre échine; là qui l'esquinte, qui ravive douleurs, qui ravive sa peur.


oh, the vengeful arrives
the shadows that thrives
in the light of his misdeeds
from the night she feeds


______culasse tirée, balle rejoint la chambre; prête à cracher sa mort sur cervelle léonine. « i should kill you now. » s’imagine juste en finir, le jeter dans géhenne et se libérer de sa haine. le voit tête en corolle; allongé sur le sol aux dalles affamée de son artère. « but instead... instead i want you to run. » lippes se tordent alors, serre lupine tremble sur gâchette et museau oublie son souffle. « now. » palabre quête miroir, veut briser reflet. « run or i shoot. » rétracte mâchoires et mufle tressaute alors, dans la hâte du défouloir. feel what i felt.

Inbar Hazan
Page 1 sur 1

Sauter vers: